'Hanouka : Le nouveau scandale des "femmes du Kotel"

'Hanouka, une nouvelle occasion pour le groupe des "femmes du Kotel" de contester la tradition juive au mépris de toute convenance !

Que désigne en fait le vocable : "Les femmes du Kotel" ? Il s'agit d'une assemblée de femmes aux comportements hystériques et exubérants dont le but flagrant est de ne laisser aucune prérogative aux hommes dans le domaine de l'application des Mitsvote.

Elles sont donc amenées à singer les hommes en mettant Talite et Téfiline, lisant la Torah en public, sans oublier les danses devant des hommes avec un Séfèr Torah dans les bras, etc... Tout cela dans des attitudes provocatrices et impudiques à outrance, particulièrement déplacées dans cet endroit de grande sainteté. Ce qui bien entendu génère des troubles et des contre manifestations.


Pour la première fois, en avril 2015 des femmes avaient fait passer, en infraction totale avec le règlement du Kotel, un Séfèr Torah dans la partie réservée aux femmes, n'hésitant pas à danser avec les rouleaux de la loi qu'elles bafouaient ouvertement. Le rav Shmouel Rabinovich, rabbin du Kotel, avait alors déclaré que les "femmes du mur" ont fait une nouvelle déchirure dans le tissu délicat du Kotel : " Cet acte est une nouvelle provocation dont le seul but est de susciter la colère des fidèles. C'est uniquement grâce au travail acharné de la police et des agents du Kotel que le sang n'a pas été versé ".

Bref, elles reprochent à D-ieu de les avoir fait femmes (même si elles ne l'avouent pas), ou pire encore, elles Lui reprochent une mauvaise distribution des Mitsvote et revendiquent donc une refonte des principes de la Torah. Car bien entendu, elles sont plus intelligentes que D-ieu et que tous les Sages d'Israël de ces deux derniers millénaires.

En conséquence de quoi, elles falsifient la Halakha (Loi juive) sans vergogne, voire même avec une certaine délectation.

Bien entendu, le lieu de prédilection de leurs vociférations n'est autre que le mur des lamentations, lieu le plus saint du judaïsme.

Ce qui vérifie le principe énoncé par nos maitres de mémoire bénie : Les forces de l'impureté vont toujours se coller aux endroits où règne la plus grande sainteté !

En bref, il s'agit ni plus ni moins que d'un mouvement réformé du judaïsme (un de plus) mal camouflé derrière des accusations sexistes fallacieuses. Si ça n'était pas dommageable pour le judaïsme dans son ensemble, ce serait à mourir de rire.

Dernière provocation en date: la revendication d'allumer les lumières de 'Hanouka au Kotel.

Le Grand Rabbin d'Israël et président du Tribunal Rabbinque, le Rav Its'hak Yossef à exprimé l'avis de la Torah sur ce sujet. Il s'est fermement insurgé contre le comportement du groupe des "femmes provocatrices" et a statué dans son sermon hebdomadaire, qu'il est interdit d'allumer des lumières de 'Hanoucca dans la section des femmes du Mur occidental.

"Il s'agit là d'une habitude, comme le port du Talite et des Téfiline, qui est issue des mouvements libéraux et réformés et qui ne correspond pas à nos traditions !" a t'il déclaré, appelant à interdire un tel comportement.

" Depuis bien plus que cinquante, nous avons la tradition d'allumer dans la partie réservée à la prière des hommes. Sans compter qu'il y a aussi un désir de provoquer et de semer la zizanie."

Le Rav a appeler le rav du kotel, le rabbin Shmouel Rabinovitch à s'opposer à cet allumage, en précisant toute fois qu'il craignait que la haute cour de justice d'Israël (BAGATS) ne le permette.

Anate Hoffman, présidente des "femmes du Mur", a répondu à la requête du Rav dans des termes ironiques et irrévérencieux.

Comme prévu, Le Procureur général a tranché sans tenir compte des recommandations du Grand Rabbin d'Israël [On se demande a quoi il sert s'il n'a même pas son mot à dire dans les affaires d'ordre religieux].

Le Procureur ordonné au Rav Shmouel Rabinovitch, responsable du Koatel d’inclure des femmes dans les cérémonies officielles d’allumage de la 'Hanoukia sur le parvis du Mur des lamentations et a exigé de recevoir la liste de ceux qui prendront part à la cérémonie.

La procureure générale adjointe Dina Zilber, dans une lettre envoyée au rabbin Rabinowitz a écrit: "empêcher les femmes de participer à des cérémonies officielles de l'État parce qu'elles sont femmes est une discrimination inacceptable."

Le monde à l'envers ! Dans cette affaire on tient compte de tous les avis, sauf de celui de la Tora !

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