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Dvar Tora
Dvar Tora
Le véritable sens de 'Hanouka
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Plus encore, l'Histoire proprement dite est toujours révélatrice de l'optique de l'historien qui l'a rédigée. C'est seulement si celui-ci était éclairé par l'esprit divin qui animait nos Sages, qu'il a pu discerner la vraie “Histoire”.
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Dvar Tora
Le bonheur existe-t-il?
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Le riche recherche toujours plus d'honneurs, ses appétits vont en grandissant, il est entraîné dans une quête du plaisir qui n'a pas de fin. Si nous considérons chacun d'eux tel qu'il se ressent lui-même et non tel que le pauvre voit le riche extérieurement – nous nous apercevrons qu'ils sont très malheureux l'un et l'autre, car ils se sentent tous deux terriblement frustrés.
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Dvar Tora
La pureté d'Israël
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« vous observerez donc mes lois et mes statuts, pour que celui qui les pratique obtienne par eux la vie » (Vaïkra 18, 5)
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Dvar Tora
La Reine Chabbate
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Toute la créativité de l’homme devait être consacrée à l’édification du Temple. La valeur de celui-ci ne consistait pas uniquement dans son existence matérielle, mais dans le fait qu’il était le produit du déploiement de la dextérité et de l’activité humaine.
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Dvar Tora
Vivre et Survivre ou le suicide et l'euthanasie
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Une question se pose : qui a jamais pu garantir que la mort, la vie après la mort, étaient plus douces et bienfaisantes que la vie ici-bas ? Qui a jamais pu vérifier que les souffrances endurées par les maladies incurables étaient supprimées par la mort ? La vérité est que la science, pour ou contre l'euthanasie, s'arrête au seuil de ce que nous appelons la mort.
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Dvar Tora
De l'idolatrie au Dévoilement du D. Un
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Après la faute du veau d'or, aucun homme, fût-il Moché, aucun texte (les Tables de l'Alliance gravées de la main de D. mais brisées par Moché avec l'approbation a posteriori de D.) ne peuvent faire l'objet d'un culte dogmatique, notion étrangère au Judaïsme.
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Dvar Tora
Les Deux Tours de Babèl
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La génération de la Tour de Babèl, modèle avant-coureur des gratte-ciels, rêvait déjà d'édifier la grande Civilisation, où différences multiculturelles seraient dépassés sous peine de se disperser à la surface de la terre " (Béréchite 11, 4). Or, cette peur de la dispersion découlait directement de la malédiction reliée à Caïn : "…Tu seras errant et fugitif par le monde " (Béréchite 4, 12).
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Dvar Tora
L'anéantissement du mal
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Certes la Tora nous défend de nous venger : "Tu n'haïras pas ton frère dans ton cœur ... Tu ne te vengeras point, et tu ne garderas pas de rancune contre les enfants de ton peuple. Tu aimeras ton prochain comme toi-même, je suis l'Éternel " (Lévitique, 19:17-18). Il nous est défendu de nourrir un grief quelconque contre nos semblables. Il nous est défendu non seulement de blesser, d'insulter ou de fâcher qui que ce soit, mais même de le haïr dans notre cœur, fut-ce sans manifestation apparente.
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Dvar Tora
La Tora : Lumière du monde
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Le Gaone de Vilna commentant le texte biblique rapporte le Zohar qui affirme que les vannes du savoir d'en haut (les cieux) et les fontaines de la connaissance d'en bas s'ouvriront : "En l'an 600 du sixième millénaire seront ouvertes les portes de la 'Hokhma (sagesse). L'an 5600 du calendrier juif correspondant à l'an 1840 du calendrier civil.
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Dvar Tora
La souffrance du juste : Partie II
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Nos Sages expliquent qu'avant la naissance d'un être humain, Dieu décrète s'il sera intelligent ou stupide, fort ou faible, sain ou malade, riche ou pauvre. Mais s'il sera Tsadik ou Racha', juste ou méchant - cela n'est pas décrété d'avance, car c'est la seule chose qui dépend du choix de l'homme lui-même.
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