Deux journalistes britanniques
qui ont effectué une enquête approfondie affirment dans un livre, « Le Loup Gris – La fuite d’Adolphe Hitler », « que le chancelier nazi ne serait pas mort dans son bunker comme l’Histoire l’a écrit, mais qu’il se serait enfui en Argentine fasciste avec sa compagne Eva Braun et y serait mort de vieillesse en 1962 ».
L’un des journalistes Gerrard Williams était dimanche l’invité de la chaîne de télévision « Sky ». Il a affirmé avec certitude qu’avec son collège Simon Dunstan « ils auraient trouvé de nombreux nouveaux éléments prouvant qu’Hitler est mort de vieillesse en Amérique du sud ».
Les journalistes disent se baser sur des documents qui étaient tenus au secret jusqu’à récemment, et affirment d’autre part « que les nombreux témoignages sur une fuite d’Hitler étaient trop concordants pour être balayés d’un revers de la main ». Ils disent également « que les témoignages provenant d’Argentine étaient bien plus probants que ceux recueillis dans le bunker en avril 1945 ». D’après le livre, Hitler et Eva Braun auraient ainsi vécu 17 ans en Argentine, en élevant leurs deux filles. Les journalistes pointent un grave doigt accusateur envers les Services de Renseignement américains, « qui auraient aidé à la fuite du dictateur en contrepartie de technologie allemande au profit des Etats-Unis ». Ils affirment aussi « que Staline, Eisenhower et le chef de la CIA de l’époque, Edgar Hoower étaient tout à fait au courant qu’Hitler n’était pas mort dans le bunker » !
Bunker d'Hitler
Et quid
du crâne recueilli sur les lieux, attribué à Hitler, et qui fut amené à Moscou par les soldats russes qui l’avaient trouvé ? Williams et Dustan affirment « qu’il s’agit du crâne d’une jeune fille et en aucun cas de celui d’Hitler, ce que prouvent les test médico-légaux ». Il est vrai aussi, que contrairement à Josef Goebbels, sa femme et ses enfants, dont les cadavres ont été photographiés, il n’existe pas de cliché fiable sur le cadavre d’Hitler dans le bunker.
Williams indique « qu’avec l’avancée de la démocratie dans les pays sud-américains, les paroles se délient et les documents s’ouvrent, montrant une réalité parfois toute autre que celle que l’Histoire a retenue ».
Les deux collègues, qui disent avoir reçu des menaces de mort, entendent vouloir réaliser en janvier prochaine un film à partir de leur livre !
Source : Actu.co.il