La haine d’Israël n’est pas un accident de l’histoire, mais le refus du monde de se confronter à la vérité qu’il incarne. Chaque jour, face à mon écran, je doute si je dois écrire encore et tenter de convaincre un monde qui préfère le vacarme au sens… Mais écrire, c’est encore faire résonner la voix d’Abraham, fragile peut-être, mais essentielle.
Les corps des quatre derniers otages israéliens ne sont plus que des objets de chantage, disputés entre le Hamas et le Jihad islamique. Analyse à partir du contraste aveuglant de l’honneur dû aux morts juifs et non-juifs dans la loi d’Israël.
Depuis des millénaires, le peuple juif subit une haine irrationnelle, sans fondement historique ni logique, malgré ses immenses apports à l’humanité. Cette hostilité persistante révèle une pathologie morale que ni la raison ni la science n’ont su éclairer.
Analyse de la déliquescence du débat politique français à travers la stratégie politique et culturelle de LFI construite sur une logique d’exploitation du conflit Israélo-Palestinien, imbibé d’antisémitisme. Et la vision des penseur juifs.
Les jumeaux Berman, ex-otages du Hamas, ont remis les Téfilines pour la première fois depuis leur Bar-Mitsva. Un symbole de résilience spirituelle qui transforme la douleur en sanctification de la vie.
La lutte quotidienne des otages pour affirmer leur judaïsme. C’est dans les ténèbres de la captivité et de la barbarie, qu’Israël révèle sa lumière et sa foi inébranlable. Comme le Zohar nous l’enseigne : « Il n’est de lumière véritable que celle qui jaillit de l’obscurité. »
Ce n’est pas une querelle de territoires, mais une lutte spirituelle, une guerre entre la confusion et la lumière. Car Ismaël veut conquérir le monde, tandis que Ya’acov cherche à le sanctifier.