Il raconte son extraordinaire histoire de survie dans un livre : bien qu’il n’ait connu ni les camps de la mort, ni les fours crématoires, ni les numéros tatoués, il a passé son enfance dans une solitude terrible avec pour seuls compagnons une horde de loups. « Ils se préoccupaient de moi autant que je me préoccupais pour eux », raconte-t-il.
Source : Guysen International News >'