Bienheureux celui qui n'a pas fauté

Les paroles de la mélodie sont tirées du traité Soukah (page 53) à propos des réjouissances de Beit Hachoéva à l'époque du Temple de Jérusalem, lors des sept jours de la fête de Soukot. "Les uns et les autres disent : bienheureux celui qui n'a pas fauté et que celui qui a fauté se repente et il sera pardonné." Une allusion à la nécessité de faire Téchouva même quand on est dans la joie. Sur une vieille mélodie 'Habad.