Si l'on a fait le Chabbate la Ché'hita (abattage rituel) pour les besoins d'un malade, le bien-portant aura la permission d'en manger si elle est crue.
Par contre, si l'on a cuit une partie pour le malade, le bien-portant n'aura pas le droit d'en consommer de peur que l'on vienne à en cuire plus pour lui (donc de transgresser le Chabbate pour lui).