Présente à l’ouverture de l’exposition, l’ancienne ministre des Affaires Etrangères, Tsipi Livni, qui a fait déclaré : « Nous n’écrivons pas la Bible, mais chacun y puise le ou les passages avec lesquels il se sent le plus proche. Il est extraordinaire de voir ainsi autant d’exemplaires du même livre en autant de langues ! » Livni a expliqué qu’à ce projet avaient participé également les parents de deux soldats Eldad Regev z.l. et Ehoud Goldwasser z.l, qui avaient apposé le verset de Jérémie (31 :16) « et les fils reviendront dans leurs frontières ». Le président de l’association « Emek Ha-Tanakh’ », Tsvika Kassa, a dit ce que le Tanakh’ représentait pour lui : « A mes yeux, Israël sans Tanakh ne repose que sur un pied, mais avec ce Livre, il est bien campé sur ses jambes ». Dans cette exposition on peut voir des exemplaires du Tanakh écrits en anglais, tamil, finnois, chinois mandarin, danois, allemand, grec, sanscrit, espagnol, cyrillique et bien d’autres, mais aucun en langue arabe. Le but des organisateurs est « de favoriser la compréhension entre les peuples et les religions à travers ce Livre universel qui a forgé la civilisation monothéiste ». Les visiteurs sont d’ailleurs invités à écrire eux-mêmes un verset, en hébreu ou en anglais. Source : Arouts7, le 13 juillet 2009 |