Samedi dernier, un miracle s’est passé dans l’hôpital Laniado de Netanya pour la famille d’une patiente et pour les médecins sur place.

Deux étudiants juifs et religieux ont visité les malades à l’hôpital Laniado de Netanya et ont distribué des bonbons et souhaité à tous un « prompt rétablissement. » Ils chantaient des chants de Shabath à une femme mourante âgée de 60 ans. Miraculeusement, ce lundi elle s’est réveillée et a repris ses forces devant le personnel médical abasourdie.

C’est une histoire émouvante qui a eu lieu à l’unité d’hospitalisation de la salle d’urgence de l’hôpital Laniado à Netanya. Les deux étudiants de yeshiva viennent de la communauté Sanzer, et vivent près de l’hôpital Laniado, ils ont aussi une belle coutume: tous les Shabbat matins, ils passent dans tous les services de l’hôpital pour donner des encouragements aux patients. Ils distribuent des bonbons et souhaitent à tous un sincère « prompt rétablissement. »

Mais ce Shabbat fut particulièrement troublant dans la salle d’urgence. Ils sont allés de chambre en chambre, et ont découvert qu’un membre de leur propre communauté, un étudiant de yeshiva, a été hospitalisé. En son honneur, ils ont commencé à chanter des « zmirot » (chants) pour Shabbat. Après qu’ils eurent fini, ils sont allés à côté dans la salle. Quand ils ont ouvert le rideau, ils ont trouvé une femme d’environ 60 ans se trouvant là. Le personnel médical avait déjà informé la famille que ses chances de guérison étaient nulles et la fin était proche. Elle était connectée à divers appareils et ses yeux étaient fermés. Mais cela n’a pas empêché les jeunes hommes de faire ce qu’ils devaient faire. Après avoir chanté, ils lui ont souhaité un prompt rétablissement et ont posé un sac de bonbons à côté de son lit, en lui souhaitant « Shabbat Shalom ».

Le lundi matin suivant, la femme a commencé à montrer des signes de reprise, à la stupéfaction du personnel médical et toute la famille. Après plusieurs heures, elle a même ouvert les yeux. Elle fit signe à son fils, qui était debout à côté de son lit, afin qu’il se rapproche. Il se pencha vers sa mère qui lui demanda faiblement: «Où sont les deux étudiants de yeshiva qui chantaient si bien? Ils ont laissé un sac de bonbons sur la table. Ce n’est que grâce à eux que j’ai la force de faire face à la vie. Merci à eux, je suis en vie. « Les jeunes hommes ne pouvaient pas réaliser ce privilège extraordinaire qu’ils avaient eu d’avoir sauver une vie juive.

Source : AlyaExpress