Alors que le peuple juif célèbre Tisha BeAv, jour de deuil commémorant la destruction des Premier et Second Temples de Jérusalem et marquant les grandes destructions de l’histoire d’Israël, une nouvelle vidéo montrant l'otage israélien Evyatar David, creusant ce qui semble être sa propre tombe a provoqué une nouvelle onde de choc en Israël et dans le monde.
Le choc
« Le corps fragile et les yeux creux d'Evyatar ressemblent aux images obsédantes des Juifs dans les camps de concentration nazis », a écrit Alex Witkoff dans un message sur X. »
« Un squelette vivant, enterré vivant » : la famille d’Evyatar David dénonce la propagande du Hamas…et l’aveuglement des médias occidentaux.
Même Emmanuel Macron dénonce "une cruauté abjecte" et "une inhumanité sans limite" du Hamas. Il a juste oublié qu'il participe à la prolongation du calvaire des otages avec sa volonté de créer maintenant un état palestinien, renforçant ainsi la determination criminelle et jusqu'au-boutiste des nazis du Hamas.
Si ces images, révèlent une détention inhumaine et des pratiques de torture avérées, leur traitement dans les grands médias internationaux soulève de sérieuses interrogations.
Evyatar David, 24 ans, apparaît dans un tunnel souterrain, visiblement épuisé, amaigri à l’extrême, peinant à tenir debout. Selon sa famille, qui a autorisé la diffusion de ces images dans les médias israéliens, « Evyatar est volontairement affamé par ses ravisseurs, utilisé comme une expérience vivante dans une campagne de propagande ignoble ». Le cri d’alarme est sans détour : « Un squelette vivant, enterré vivant. »
il n'est pire sourd que celui qui ne veut entendre
Au lieu de se concentrer sur cet acte de torture méthodique, plusieurs médias occidentaux de premier plan – tels que la BBC, CNN ou The Guardian – ont choisi de relayer ces images en les intégrant dans une narration générale sur la crise humanitaire à Gaza. Ainsi, l’état de David est régulièrement présenté comme le reflet d’une famine généralisée dans l’enclave palestinienne, alors même que les terroristes du Hamas visibles dans ces mêmes vidéos apparaissent en bonne santé, bien nourris, sans aucun signe de privation.

Cette juxtaposition sélective, qui fait glisser la responsabilité implicite vers Israël, élude une réalité pourtant évidente : Evyatar David n’est pas victime collatérale d’un siège ou d’une pénurie — il est délibérément privé de nourriture, comme moyen de chantage et de pression psychologique. La famille dénonce « une famine intentionnelle, une torture lente », qui bafoue les principes les plus fondamentaux du droit humanitaire.
L’un des extraits les plus marquants de la vidéo montre David déclarant : « Je n’ai pas mangé depuis des jours, j’ai à peine eu de l’eau à boire. » Or, dans les articles du Guardian ou de la BBC, ces paroles sont immédiatement associées à des descriptions générales de la situation à Gaza, dans une confusion volontaire entre le sort des otages et celui de la population civile. Aucun mot, ou presque, n’est consacré à la responsabilité directe des ravisseurs, ni à l’incohérence manifeste : si une famine frappe Gaza, pourquoi les terroristes du Hamas n’en montrent-ils aucun signe ?
En fin de compte, ce traitement médiatique contribue à diluer l’horreur spécifique de la détention des otages. La famille David interpelle la communauté internationale : « Ce n’est pas une tragédie humanitaire diffuse. C’est un crime prémédité. Le Hamas affame notre fils sous les caméras, et certains médias choisissent de détourner le regard de ce fait essentiel. »
Elle appelle le gouvernement israélien, les pays occidentaux et le président américain à intervenir d’urgence, pour que les otages reçoivent des soins médicaux et une alimentation vitale. Car, selon elle, « Evyatar n’a plus que quelques jours à vivre ».
Les nouveaux négationnistes
« Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose » Cette formule proverbiale, n’est pas clairement attribuable à une personne unique avec certitude. Elle exprime une procédure cynique sur la manipulation de masse, qui a été exprimée sous diverses formes au fil des siècles (notamment par Joseph Goebbels, ministre de la propagande nazie).
On en retrouve l’idée presque mot pour mot, sous la forme de la calomnie, dans l’œuvre de Beaumarchais, dans Le Barbier de Séville, acte II, scène VIII.
« La calomnie, monsieur ! Vous ne savez guère ce que vous dédaignez ; j’ai vu les plus honnêtes gens près d’en être accablés. Croyez qu’il n’y a pas de calomnie, il n’y a que des gens calomniés. Voyez un peu comme cela s’y prend, tout doucement, d’un air innocent ; on jette le mot en passant, et le poison est sur le terrain : on le recueille, on le rumine, on l’amplifie, on le répand. Puis tout à coup, cela s’élance, s’étend, prend un corps, fait explosion, éclate, tonne, foudroie, et voilà l’homme honni, poursuivi, perdu sans retour, sous le poids d’un ridicule ou d’un crime qu’il n’a pas commis. Qui diable peut lui résister ? »
L’Europe et ses médias sont devenus de nouveaux négationnistes en imputant à Israël, entre autre, l’état cadavérique de David Evyatar.
Les négationnistes ne tiennent pas compte des faits avérés, des preuves accablantes, des témoignages innombrables, des documents écrits et même filmés pour nier l'Holocauste.
Ils affirment qu'il suffit de discréditer un seul fait concernant l'Holocauste pour que toute son histoire le soit aussi : ainsi, les Alliés auraient eu besoin du « mythe de l'Holocauste » pour justifier l'occupation l'allemande en 1945 et la persécution « sévère » des accusés nazis.
Ils vont même jusqu’à affirmer que ce « mythe de l'Holocauste » était utile aux Juifs pour soutirer à l'Allemagne d'énormes sommes d'argent en guise de dédommagement et pour justifier la création de l'État d'Israël.
Rien n'a changé ! L’Europe et ses médias ne font pas mieux !
FINALEMENT, C’EST TOUJOURS LA FAUTE AUX JUIFS !