
Ses actions en faveur des victimes de la Shoah ont commencé dès l’automne 1939 lorsque, contraire aux règles, il a permis aux juifs enfermés dans les camps d’aller voir leur familles et a même obtenu la libération anticipée de l’un d’eux. Pendant son séjour à Varsovie, il a utilisé sa position prépondérante pour abriter les personnes qui étaient en danger d’être arrêté par la Gestapo, sans distinction d’origine (même pour donner refuge à un persécutés allemand). Il leur a obtenu les bons papiers pour travailler dans le centre sportif qui était à sa charge, parfois en leur donnant un emploi sous de faux noms.


Source : Tere Promise