Louis Renault
est mort en prison en 1944, alors qu’il attendait son jugement pour collaboration avec les nazis. Aujourd’hui ses petits-enfants réclament des dédommagements a la France, sous prétexte que la confiscation et la nationalisation de la société étaient illégales. Le mois prochain s’ouvre en France le procès historique sur la collaboration de Renault avec les nazis. Sept des petits-enfants et héritiers de Louis Renault, fondateur de la marque automobile Renault, réclament des dédommagements de la France sous prétexte qu’elle n’avait pas le droit de saisir l’usine de leur grand-père, qui était accuse de collaboration avec l’Allemagne nazie, sans dédommager la famille.
Renault a fonde sa société en 1898 avec deux de ses frères. Il est mort en prison en 1944, peu après la libération de la France, alors qu’il attendait son jugement. Le 16 janvier 1945, le chef du gouvernement temporaire, le général Charles de Gaulle, a publie un ordre de confiscation de la société. “Les services rendus par la société a l’armée allemande pendant l’occupation ont été des plus conséquents”, il était écrit dans ce commandement.
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